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10 octobre 2010 7 10 /10 /octobre /2010 02:53
Bonjour,
 
Plusieurs indices ( proposition de loi, prise de position d'associations telles que l'AMRF ou l'Avicca et bien d'autres, rapport du sénateur Maurey etc... )  montrent que la "bataille" pour le trés haut débit dans les campagnes est engagée
Les Webs du Gévaudan essaient d'y prendre part en intervenant dans des colloques et des blogs pour tenter de faire entendre la voix de la ruralité dont la Lozère (77000 habitants) est le symbole ! 
 
Si vous estimez que la "cause" est juste n'hésitez pas à nous soutenir par un commentaire sur un article de notre blog ou mieux si affinités;-)
 
Merci d'avance...si vous pouvez...
 
Ruralement votre
 
Pierre Ygrié

Webs du Gévaudan

:Une subvention du FEDER est prévue pour 10 millions d’euros. Le coût est ensuite réparti pour moitié entre la Région et les Départements (soit 21 millions chacun).

Il faut espérer qu'avec un tel niveau de dépenses le résultat sera positif. Dans le cas contraire nos élus s'honoreraient de donner leur démission afin de redonner la parole au peuple.

Mais le feront-ils?  LES CONTRIBUABLES VOUS DEMANDENT D'ASSUMER LA RESPONSABILITE DE VOS DE


Très haut débit: les élus des zones rurales s'énervent
Très haut débit: les élus des zones rurales s'énervent
Edition du 29/09/2010 - par EuroTMT

 

(Source EuroTMT) Nous ne sommes pas au bout de nos peines en matière de très haut débit en France. Entre des opérateurs télécoms qui se chamaillent pour des points de détail (chacun reprochant aux autres ses arrière-pensées), l'Autorité de la Concurrence qui pratique le grand écart entre concurrence et investissements (au risque de devenir inaudible) et un Etat plus volontaire dans les mots que dans les faits, le dossier du très haut débit est en train de s'embourber en France.

L'Arcep tente effectivement de mettre au point un cadre définissant les modalités de déploiement du très haut débit qui protège la concurrence tout en favorisant l'investissement. Mais l'exercice se révèle très complexe.

Sur le papier, la France devrait être en ligne avec l'objectif annoncé par la Commission européenne d'un taux de couverture de 50 % de la population en très haut débit à l'horizon 2020. Ceci dit, cela ne va pas suffire car la fracture numérique entre les zones denses et les zones peu denses, déjà visible aujourd'hui dans le haut débit ADSL, risque de s'approfondir avec la fibre optique.

Un risque que les élus, toutes tendances politiques confondues, ne veulent pas courir et c'est ce qu'ils ont, utilement, rappelé aux opérateurs et aux pouvoirs publics nationaux à l'occasion du séminaire du GRACO (Groupe d'échange entre l'Arcep, les collectivités locales et les opérateurs) qui s'est tenu mardi 28 septembre.

En matière de très haut débit, « les attentes des habitants des zones rurales sont les mêmes que celles des habitants des villes » a judicieusement rappelé Laure de la Raudière, députée UMP d'Eure-et-Loir, ajoutant qu'il ne sera pas possible d'attendre 25 ou 30 ans pour offrir un accès en fibre optique aux quelque 30 % des Français qui ne seront pas couverts en très haut débit dans les dix ans qui viennent.

« On ne peut pas avoir une différence de 10 ans ou 15 ans dans l'arrivée du service »
en fonction de son lieu d'habitation avait souligné, un peu auparavant, Corinne Erhel, députée PS des Côtes-d'Armor. « Il y aura inévitablement des écarts d'un immeuble ...

Photo : Laure de la Raudière, députée UMP d'Eure-et-Loir (D.R.)

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