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8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 06:23

1786367326.jpgL'endettement ,malgré des impots trop élevé, est conséquent.Aussi ce qui se passe avec la situation grecque aura des effets sur notre façon de vivre.Voici un des exemples:(source de l'image de TREZ,contribuables associés)

 

 

 
 
PARIS(Reuters) - Les marchés européens ont fini en nette baisse vendredi, les investisseurs craignant désormais une répercussion mondiale des difficultés de la Grèce. 
 

A Paris le CAC 40 a chuté de 4,6% pour clôturer en dessous des 3.400 points, à 3.392,59 points, soit son plus bas niveau depuis le 29 juillet 2009. Sur la semaine l'indice phare de la place parisienne a plongé de 11,12%.

 

L'indice des principales valeurs européennes a reculé de 8,75%, sa plus forte baisse hebdomadaire depuis novembre 2008.

La chute des marchés d'actions s'est accentuée dans la journée après une téléconférence du G7 qui s'est achevée sur une déclaration formelle, les ministres faisant simplement part de leur décision de surveiller de près l'instabilité qui règne sur les marchés financiers en réaction à la crise de la dette grecque.

L'indice de volatilité DAX-NEW Volatility, qui permet de mesurer l'aversion des investisseurs au risque, a bondi de plus de 35% vendredi. Les banques ont été les plus affectées par cette nervosité.

Les banques européennes ont ainsi chuté de 3,8% comme les établissements grecs.

"L'incertitude sur la Grèce s'accroît. Les investisseurs ne veulent pas maintenir leurs positions durant le week-end, ne sachant pas ce qui va se passer", explique Philippe Gijsels, chef de la recherche chez BNP Paribas Fortis Global Markets.

Les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro se réunissaient dans la soirée à Bruxelles pour formaliser au plus haut niveau le plan d'aide européen à Athènes. La réunion était aussi conçue comme l'occasion d'envoyer un message d'unité et de solidarité face aux marchés financiers.

Alexandre Boksenbaum-Granier, avec Juliette Rouillon

 

Nous pensons à une décroissance généralisée:arton11601-36b3e.jpg

La dette du GARD se situe vers 170.000.000 d'euros et celle de notre région:LANGUEDOC-ROUSSILLON environ

500.000.000 d'euros.Une augmentation de 1 point du taux d'intérêt

représente pour l'un 1.700.000 d'euros de dépenses supplémentaires et pour l'autre 5.000.000 d'euros.Que feront nos élus? il est probable qu'au lieu de baisser les depenses ils augmentent les ressources soit en augmentant nos impôts soit la dette soit l'un et l'autre.

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