C’est la une du numéro de Valeurs Actuelles paru cette semaine. L’hebdomadaire a consacré son dossier aux dépenses somptuaires des Conseils régionaux qui, comme l’inénarrable Geroge Frêche, président de la Région Languedoc-Roussilon, se croient à la tête de mini-Etats et dépensent sans compter l’argent des contribuables.Cette information est diffusé par contribuables associés
.En voila un exemple:Sur l'hôtel de région il y a environ 8 ruches et 12 apiculteurs originaires des 5 départements de notre région les entretiennent. Un amateur s'occupe d'environ 40 ruches et un professionnel environ 100 à 150 ruches. POURQUOI UNE TELLE DEPENSE AUX FRAIS DES CONTRIBUABLES?
L'équipe de France est composée majoritairement de noir. Ces paroles ne vous rappellent rien?
Lilian Thuram, ancien joueur de football de l’équipe de France, icône de la France « black-blanc-beur » ne met pas sa notoriété au service de tout le monde. Et encore moins au service des jeunes Alsaciens.
L’ex-champion du monde de football vient de sortir un livre « Mes étoiles noires. De Lucy à Barack Obama« , l’histoire d’un gamin noir élevé dans la banlieue parisienne ou l’enseignement dispensé n’évoquait que des blancs… Il est également membre du Haut Conseil à l’intégration, connu pour ses engagements contre le racisme. Mais voilà, la star ne s’engage pas à n’importe quel prix.
En mai dernier, Lilian Thuram a été invité par le Conseil régional d’Alsace à témoigner devant des lycéens pour la clôture du « Mois de l’Autre ». Mais quand on est habitué à jouer au foot pour des millions d’euros, le sens des valeurs se perd rapidement.
Thuram a accepté l’invitation d’Adrien Zeller, président du Conseil régional, mais contre une coquette somme de… 20 000 euros, pour une intervention d’une heure et demie !
Une note plus que salée pour les élus Alsaciens qui ont expliqué à l’ex-footballeur l’esprit de la démarche auprès des jeunes, et ont proposé 1500 euros tous frais payés. Ce n’est pas assez aux yeux du footballeur milliardaire, qui ne vit plus depuis longtemps en banlieue mais en Italie…
Source : Les Dernières Nouvelles d’Alsace
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